Méthode

Selon des recherches menées à l’Université James Madison1, voici le taux d’efficacité de rétention des différentes méthodes d’apprentissage :

  1. Écoute : 5 %
  2. Lecture : 10 %
  3. Audiovisuel : 20 %
  4. Démonstration : 30 %
  5. Groupe de discussion : 50 %
  6. Mise en pratique : 75 %
  7. Enseignement aux autres et utilisation immédiate de l’information : 90 %

Il existe beaucoup de méthodes pour apprendre. Elles sont basées sur l’acquisition d’un savoir-faire à travers lequel on inclut la matière qu’il faut connaitre par cœur. Par exemple, dans le cas de l’apprentissage d’une langue étrangère l’apprentissage se concentrera sur l’apprentissage de la prononciation, l’écoute, l’écriture et la lecture. Et à travers les leçons, on y apprendra le nouveau vocabulaire. Dans l’exemple ci-dessus, les méthodes actuelles d’apprentissage d’une langue ne sont pas conçues pour apprendre et retenir le vocabulaire et la courbe d’oubli du vocabulaire appris au cours des leçons est importante. Ceci est vrai dans les autres domaines où l’acquisition de connaissance repose sur la mémorisation des mots, des mots dédiés à une profession, des formules, des principes, des concepts, etc. Ce qui se passe, c’est qu’on oublie un certain nombre d’informations précédemment apprises au fur et à mesure que le temps avance ;

Le problème de l’oubli est dû à trois facteurs.
  1. Le temps requit pour réviser une leçon ;
  2. L’absence de répétition suffisante pour l’imprimer dans la mémoire à long terme ;
  3. La perte de temps à revoir les mots, les formules, les concepts, etc. qui ont déjà été maitrisés, ce qui diminue grandement l’efficacité de la retenue à long terme des connaissances apprises ;

Le problème numéro 1 c’est le fait que beaucoup de gens prennent du temps pour apprendre, mais bien peu sont prêts à mettre le temps nécessaire pour réviser sérieusement la matière;

Le problème numéro 2 c’est le fait que dans le nombre de personnes qui prennent du temps pour réviser, peu d’entre elles révisent plusieurs fois. Or, une révision doit être répétée plusieurs fois et à différents moments pour être efficace;

Le problème numéro 3 c’est le fait que lorsqu’une révision est faite, il y a un temps improductif à revoir la matière déjà mémorisée à travers celle qui doit être mémorisée. Cet état de fait réduit considérablement le pourcentage d’efficacité de la révision effectuée;

Les problèmes énumérés ci-dessus sont vrais autant pour des méthodes d’apprentissages magistrales qu’à travers des applications dédiées à l’apprentissage des notions qui demande la mémorisation des mots, des mots dédiés à une profession, des formules, des principes, des concepts, etc.

1- How Memory Works, James Madison University

Selon des recherches menées à l’Université James Madison1, voici le taux d’efficacité de rétention des différentes méthodes d’apprentissage :

  1. Écoute : 5 %
  2. Lecture : 10 %
  3. Audiovisuel : 20 %
  4. Démonstration : 30 %
  5. Groupe de discussion : 50 %
  6. Mise en pratique : 75 %
  7. Enseignement aux autres et utilisation immédiate de l’information : 90 %

Il existe beaucoup de méthodes pour apprendre. Elles sont basées sur l’acquisition d’un savoir-faire à travers lequel on inclut la matière qu’il faut connaitre par cœur. Par exemple, dans le cas de l’apprentissage d’une langue étrangère l’apprentissage se concentrera sur l’apprentissage de la prononciation, l’écoute, l’écriture et la lecture. Et à travers les leçons, on y apprendra le nouveau vocabulaire. Dans l’exemple ci-dessus, les méthodes actuelles d’apprentissage d’une langue ne sont pas conçues pour apprendre et retenir le vocabulaire et la courbe d’oubli du vocabulaire appris au cours des leçons est importante. Ceci est vrai dans les autres domaines où l’acquisition de connaissance repose sur la mémorisation des mots, des mots dédiés à une profession, des formules, des principes, des concepts, etc. Ce qui se passe, c’est qu’on oublie un certain nombre d’informations précédemment apprises au fur et à mesure que le temps avance ;

Le problème de l’oubli est dû à trois facteurs.
  1. Le temps requit pour réviser une leçon ;
  2. L’absence de répétition suffisante pour l’imprimer dans la mémoire à long terme ;
  3. La perte de temps à revoir les mots, les formules, les concepts, etc. qui ont déjà été maitrisés, ce qui diminue grandement l’efficacité de la retenue à long terme des connaissances apprises ;

Le problème numéro 1 c’est le fait que beaucoup de gens prennent du temps pour apprendre, mais bien peu sont prêts à mettre le temps nécessaire pour réviser sérieusement la matière;

Le problème numéro 2 c’est le fait que dans le nombre de personnes qui prennent du temps pour réviser, peu d’entre elles révisent plusieurs fois. Or, une révision doit être répétée plusieurs fois et à différents moments pour être efficace;

Le problème numéro 3 c’est le fait que lorsqu’une révision est faite, il y a un temps improductif à revoir la matière déjà mémorisée à travers celle qui doit être mémorisée. Cet état de fait réduit considérablement le pourcentage d’efficacité de la révision effectuée;

Les problèmes énumérés ci-dessus sont vrais autant pour des méthodes d’apprentissages magistrales qu’à travers des applications dédiées à l’apprentissage des notions qui demande la mémorisation des mots, des mots dédiés à une profession, des formules, des principes, des concepts, etc.

1- How Memory Works, James Madison University